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Un écran pour quoi faire ?

Un écran pour quoi faire ? Et pourquoi pas projeter directement sur le mur ? Le cinéma a été inventé en France au début du XXème siècle, et il a fallu trouver très vite un support pour projeter l’image : le drap blanc simplement suspendu à un mur a été le premier écran utilisé. Ensuite le cinéma est […]

Un écran pour quoi faire ?

Et pourquoi pas projeter directement sur le mur ?

Le cinéma a été inventé en France au début du XXème siècle, et il a fallu trouver très vite un support pour projeter l’image : le drap blanc simplement suspendu à un mur a été le premier écran utilisé. Ensuite le cinéma est devenu un art et l’écran s’est amélioré en devenant une surface tendue. Puis le cinéma est devenu parlant et il a fallu placer le haut-parleur derrière l’écran pour que le son coïncide avec l’image : l’écran a été perçé volontairement de milliers de petits trous d’épingles, l’écran transonore est né.

Pour donner toujours plus d’émotion aux spectateurs, le format de projet a évolué, passant de l’image 1:1 (par exemple 1M de haut pour 1m de large) au 1,33 puis au 1,77 en passant par différents formats cinémascope (2,70/2,55/2,40/2,35). L’écran s’est adapté à toutes ses évolutions tout en se divisant en 2 catégories techniques : les écrans fixes tendus sur cadre, et les écrans déroulant,  qui malheureusement gondolaient souvent…

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Les premières salles cinéma privées sont apparues dès les années 50 aux domiciles luxueux des stars hollywoodiennes, recréant de mini-salles cinéma dans des pièces dédiées de leurs domiciles. Dans les années 70 et 80, le luxe ultime est ainsi devenu d’avoir sa salle cinéma privée avec un écran fixe et des fauteuils cinéma. Les amateurs et les écoles optèrent eux pour des écrans déroulant. Dans les années 2000, certains pensèrent que le cinéma se limitait juste à l’usage d’un projecteur : la nécessité de projeter chez soi et l’impossibilité d’avoir une salle dédiée à disposition a entrainé la vogue de la projection sur mur blanc, quitte à le peindre avec une peinture murale dite « spéciale ». Très vite, les cinéphiles ont compris que le projecteur donnait de meilleurs résultats avec un vrai écran, les murs n’étant jamais complètement droits ni uniformes, tout comme un bon ampli hifi ne donne pas de bons résultats sans de bonnes enceintes sonores.

Aujourd’hui le home cinéma se divise en 2 marchés distincts : le home cinéma par la télévision haute définition et ses déclinaisons bureautiques (PC, tablettes, smartphones) ou le vidéoprojecteur numérique associé à un écran. Petit à petit, les utilisateurs redécouvrent la qualité qu’apportent un bon projecteur haute définition associé à une vraie toile cinéma, à condition qu’elle soit tendue et d’une belle qualité de surface.

En conclusion, si vous n’avez pas de place suffisante, optez pour une télévision. Si vous avez plus de place, vous pouvez opter pour une qualité supérieure qui vous permettra de plonger dans un vrai grand écran. La projection permettra aussi de ne plus avoir les rayons bleus nocifs des téléviseurs.

L’usage du home cinéma a longtemps été limité à projeter des films. Aujourd’hui, les nouveaux  vidéoprojecteurs permettent en plus de projeter la TV( via les box), les consoles de jeux, ou les retransmissions sportives sur très grand écran.  Les salles dédiées au seul usage des films sont de moins en moins utilisées, les spectateurs préfèrent profiter du spectacle directement dans leur salon. C’est pourquoi il fallait une nouvelle génération d’écrans tendus permettant également une parfaite intégration dans le salon de chacun. En ce début de nouveau siècle, une nouvelle génération d’écrans est née : les écrans-tableaux DesignScreen.  L’écran n’est plus qu’une simple surface technique, il devient votre principal objet d’ornement. Une invention made in France, telle l’invention du cinéma…